J’ai avec Les Echos une relation quasi affective
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J’ai avec Les Echos une relation quasi affective

Pour expliquer son lien aux Échos, Agnès de Ribet, associée en charge du Marketing, de la Communication et du Business Development du cabinet d’audit et de conseil Grant Thornton en France, n’hésite pas à convoquer des souvenirs d’il y a vingt ans, alors qu’elle dirigeait les relations presse du géant du conseil, Arthur Andersen « En 2001, l’affaire Enron a fortement secoué le secteur de l’audit. Alors que certains médias déversaient des torrents de boue sur notre entreprise et nos activités, Les Échos ont du début à la fin fait preuve de sérieux et d’objectivité. Cette éthique journalistique, je ne l’oublierai jamais »

Vingt ans et quelques crises plus tard, Agnès de Ribet est restée fidèle au journal. « Pour moi, Les Échos, c’est un laboratoire de tendances. Une vraie compréhension des marchés, un éclairage sur la parole des dirigeants toujours en miroir avec la stratégie des entreprises, une analyse des transformations et des signaux faibles de l’économie », affirme-t-elle.

Savoir où sont les décideurs

En tant que patronne du marketing, de la communication et du développement de Grant Thornton, elle a en main les clés de la stratégie commerciale du cabinet, du déploiement de ses offres et services, ainsi que la notoriété et l’image de ce groupe qui fédère aujourd’hui 2 000 collaborateurs dans 23 bureaux en France. Un périmètre élargi de responsabilités qui induit une acuité constante de sa part.

Dans sa consommation quotidienne du journal, il y a deux incontournables : les pages “Entreprises” et “Finances-marchés”, bien sûr, mais sans doute avant toute chose le “carnet”. « Dans mon métier, et à la fonction qui est la mienne, il faut savoir où sont les décideurs. Être informé des mouvements, suivre les parcours, cerner les profils est indispensable. Quand on a connaissance des éléments stratégiques et de la vision des dirigeants, on a fait la moitié du chemin de l’intelligence économique. »

Maquette intuitive

Beaucoup commencent la journée par la lecture du journal. Agnès de Ribet, elle, attend plutôt que tombe l’alerte abonnés du soir sur ses écrans. Une manière de se préparer à la journée du lendemain. Elle trouve également presque toujours un moment pour déplier l’édition papier déposée sur son bureau. « La maquette facilite une lecture intuitive du journal, ce qui aide à trouve immédiatement ce vers quoi on veut aller. Quand on a des journées plus qu’occupées, voilà qui est très précieux », commente-t-elle.

Pour moi, Les Échos, c’est un laboratoire de tendances.

Quand on a connaissance des éléments stratégiques et de la vision des dirigeant, on a fait la moitié du chemin de l’intelligence économique.

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