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Grant Thornton, groupe d’audit et de conseil en France et dans le monde, annonce les dernières tendances de son second baromètre relatif aux risques extrêmes des entreprises. Alors que la première édition décryptait la réalité de ces crises, cette nouvelle mouture témoigne des réussites et des difficultés à bâtir un dispositif de riposte en contexte international. Menée au cours du semestre dernier auprès d’un panel de plus de 5000 dirigeants, l’étude souligne que :
- Le plan de continuité d’activité (PCA) est mis en œuvre et s’impose au niveau stratégique (plus de 60%) ;
- Plus de la moitié des acteurs concernés par la maîtrise des risques extrêmes ne sont pas suffisamment formés (62%), ce qui est un frein en contexte de déploiement international ;
- La maintenance en conditions opérationnelles (MCO) est le maillon faible des PCA, en raison d’une faible capacité à innover.
Clotilde Marchetti, Associée et responsable de l’offre Risques extrêmes et Camille Lastennet, consultante senior, Grant Thornton, commentent d’une même voix :
« La continuité d’activité est désormais un sujet stratégique qui est appréhendé au plus haut niveau des entreprises. Le défaut de formation constaté est encore un frein, notamment lorsque le sujet revêt une dimension internationale. A ce titre, plus de 60% des entreprises ont un PCA formalisé ou sont en train de le déployer.
Pour autant, la question n’est pas de savoir s’il faut ou pas implémenter un tel dispositif. L’étude démontre qu’il s’agit de convaincre de l’efficacité des PCA dans le temps. Dans ce contexte, l’animation d’une communauté dédiée par l’intégration d’outils opérationnels et innovants (e-réputation, alertes et de notifications de masse…) sont des évolutions nécessaires pour faire du dispositif un levier de croissance ».